Dans ce secteur où tout va très vite, il est préférable de faire la course en tête. C’est le premier ministre britannique Rishi Sunak qui s’est détaché du peloton en annonçant l’organisation du premier sommet mondial consacré à l’intelligence artificielle.
L’intention semble louable avec un objectif clairement annoncé : Limiter les risques liés à l’utilisation des nouvelles technologies utilisant l’intelligence artificielle.
C’est en effet l’enjeu de la décennie pour les GAFA qui rivalisent d’investissements pour attaquer le marché de l’IA et du Métaverse.
Alphabet, la maison mère de Google, Microsoft ou Meta ont tous fixé un cap clair : Accélérer comme jamais sur ces technologies !
Le succès incroyable de ChatGPT renforce les enthousiasmes comme pour le PDG de Google, Sundar Pchai, qui explique que :« L’intelligence artificielle est la technologie la plus profonde sur laquelle nous travaillons actuellement. »
Les enjeux sont colossaux et c’est le futur de l’humanité dont il est question.
Dans 10 ans, nous ne fabriquerons plus des cartes électroniques comme avant. Chez Électronie nous suivons de près les apports de l’IA sur notre métier. Au niveau du bureau d’étude mais aussi au niveau de la production ou du contrôle.
Nous pensons que l’IA peut permettre à nos industries de produire de manière plus vertueuse. Une intelligence artificielle au service de l’homme pour accompagner la transition énergique tout en innovant c’est notre espoir sur les apports immédiats de l’IA.
Tous les secteurs sont touchés par cette nouvelle révolution industrielle.
De la médecine à l’aviation en passant par les objets du quotidien, ce big bang va changer nos vies.
Il semble donc important de s’équiper d’armes législatives pour s’assurer que l’IA sera développée et utilisée en toute sécurité.
En marge du salon qui doit se tenir à l’automne 2023, l’objectif attendu est aussi de créer un régulateur mondial regroupant les pays ayant la même approche.
Une ambition qui pourrait être mise à mal, alors que l’Union Européenne et les Etats-Unis ont d’ores et déjà commencé à discuter sur le sujet. En parallèle nous sommes en droit de penser que : La Russie ou la Chine ne vont pas rester sagement assis sur le banc de touche.